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Premier baiser lesbien : ces femmes racontent le moment où tout a basculé

Catégorie : Actualités

Premier Baiser Lesbien Ces Femmes Racontent Le Moment Ou Tout A Bascule

Le premier baiser entre deux femmes est rarement anodin. Il peut être doux ou maladroit, furtif ou bouleversant, mais il marque presque toujours une bascule intime. Pour beaucoup de lesbiennes, ce premier baiser ne ressemble à aucun autre. Il ne s’agit pas seulement d’un geste amoureux, mais d’une reconnaissance intérieure, parfois tardive, parfois fulgurante.

Voici plusieurs témoignages de femmes qui racontent leur premier baiser lesbien, ce moment précis où quelque chose s’est aligné, ou au contraire troublé, mais jamais effacé.

Sommaire

 

1. Premier baiser lesbien à l’adolescence : quand le désir surgit sans prévenir

Pour certaines, le premier baiser entre femmes arrive très tôt, souvent dans un contexte flou, presque ludique, sans que les mots existent encore pour nommer le désir.

À quatorze ans, lors d’un jeu à une soirée, l’une d’elles embrasse une autre fille pour la première fois. Le baiser n’a rien de spectaculaire, mais une pensée s’impose immédiatement, simple et définitive.

Je me souviens avoir pensé : “Oh… j’aimerais vraiment recommencer.

Sans analyse, sans mise en récit immédiate, juste cette évidence physique et émotionnelle qui s’installe avant toute réflexion.

Une autre raconte avoir seize ans lorsqu’elle embrasse sa meilleure amie, assises côte à côte sur un trottoir après une sortie. Elles viennent d’un milieu religieux très cadré, où rien ne les a préparées à ce qui se joue à cet instant. Le baiser ne débouche sur aucune relation, aucun aveu, mais il ouvre une porte intérieure.

C’était mon premier baiser avec une fille, avec ma meilleure amie. Nous étions toutes les deux perdues, mais ce baiser a déclenché quelque chose en moi.

Ce n’est pas la passion qui reste, mais la certitude silencieuse qu’un avant et un après viennent de se dessiner.

2. Embrasser une femme pour la première fois : entre excitation et vertige

Beaucoup décrivent ce premier baiser lesbien comme un mélange contradictoire d’euphorie et de confusion. Le corps sait avant la tête.

L’une d’elles raconte son premier baiser avec une femme rencontrée à l’université. Lorsqu’on lui demande si elle accepte d’être embrassée, les réponses se bousculent, oui et non mêlés, dans un même souffle.

J’étais tellement nerveuse que j’ai répondu non, puis peut-être, puis oui, tout ça en quelques secondes.

Puis le baiser arrive enfin, et avec lui une sensation nouvelle : une douceur inattendue, une lenteur, une attention qu’elle n’avait jamais connues auparavant.

Une autre évoque un premier baiser lors d’un rendez-vous censé être studieux, où rien n’a finalement été étudié. Ce qui la marque, ce n’est pas tant le lieu que le geste préalable.

C’était la première fois de ma vie que quelqu’un me demandait clairement mon consentement avant de m’embrasser.

Ce simple détail transforme le baiser en un moment profondément respectueux, presque solennel.

3. Premier baiser entre femmes et révélation de soi

Pour certaines femmes, le premier baiser lesbien agit comme une confirmation intime. Pas forcément spectaculaire, mais irréfutable.

L’une raconte ce sentiment très précis : son esprit est en désordre, mais une sensation de soulagement l’envahit immédiatement.

Mon premier baiser avec une femme m’a complètement embrouillée, mais en même temps j’ai ressenti un immense apaisement. C’était ma vérité.

Elle n’a pas immédiatement changé d’étiquette, mais elle savait que ce baiser disait quelque chose de juste.

Une autre explique que ce premier baiser avec une femme n’était pas tant surprenant en soi, mais que la personne l’était. Embrasser une amie proche, presque une confidente, rend l’expérience à la fois évidente et déroutante.

Ce n’était pas étrange d’embrasser une femme. Ce qui l’était, c’était que ce soit elle.

Le baiser n’a pas bouleversé sa vie extérieure, mais il a profondément redéfini son rapport à elle-même.

4. Baiser lesbien tardif : quand tout arrive plus tard que prévu

Le premier baiser entre femmes ne survient pas toujours à l’adolescence. Certaines femmes le vivent bien plus tard, parfois après des années de silence intérieur.

L’une se souvient de son premier baiser lesbien dans un lycée catholique, lors d’un déplacement sportif. Des décennies plus tard, le souvenir reste intact.

Il y avait cette tension accumulée depuis des mois. Quand nous nous sommes embrassées, tout a fondu.

 

Une autre raconte son premier baiser avec une femme rencontrée via une application. Elles chantent au karaoké, rient, puis se disent au revoir devant un immeuble. Elle ose poser la question, simplement.

Je lui ai demandé si je pouvais l’embrasser. Elle a dit oui. Plus tard, j’ai écrit à ma meilleure amie : je crois que je suis bi.

5. Le baiser est simple, mais suffisant pour déplacer quelque chose de profond.

Quand le premier baiser lesbien ne donne pas toutes les réponses

Contrairement aux récits idéalisés, le premier baiser entre femmes ne règle pas toujours tout. Et c’est aussi ce qui le rend sincère.

Certaines femmes racontent qu’elles s’attendaient à une révélation immédiate, à une certitude limpide. Elle n’est pas toujours venue.

Je pensais me réveiller plus claire, différente. Ce n’était pas le cas. J’avais juste davantage de questions. 

Mais ce baiser a déplacé les lignes. Il n’a pas figé une identité, il a rendu le doute vivable.

Ce premier contact, parfois maladroit, parfois chargé de contexte, reste néanmoins fondateur. Même lorsqu’il ne débouche sur rien de concret, il laisse une trace durable, une mémoire corporelle et émotionnelle qui ne s’efface pas.

6. Pourquoi le premier baiser lesbien marque autant

Ce qui revient dans presque tous les témoignages, c’est cette sensation d’alignement. Le sentiment que le geste dépasse le simple baiser. Embrasser une femme pour la première fois, c’est souvent se rencontrer soi-même autrement.

Ce baiser peut être joyeux, troublant, dérangeant ou apaisant. Il peut être unique ou répété. Mais il reste, pour beaucoup, le point de départ d’une compréhension plus juste de leur désir.





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