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Décès de l'autrice Hélène de Monferrand, "Les amies d'Héloïse"

| Chantal Trembley | Actualités

Décès de l

C'est avec beaucoup de tristesse que Jacqueline Pasquier, l'épouse d'Hélène de Monferrand nous a contactées pour nous faire part du décès de sa compagne le 14 Février dernier à Reims où elles vivaient.

Prix Goncourt du "premier roman" en 1990 avec son titre "Les Amies d'Héloïse", suivi de "Le Journal de Suzanne", nous avons eu l'honneur qu'Hélène de Monferrand nous confie en 2017 la publication de la suite de son œuvre : "Les enfants d'Héloïse".

"Les Amies d'Héloïse" est une référence incontournable pour nombre de femmes homosexuelles, une ode à la tolérance, à la liberté, à l'acceptation et à l'affirmation de soi. Il a été le premier roman du genre accessible aux lesbiennes en quête de compréhension de leur identité, une pépite de la littérature française qui reflète une époque où la société ne laissait pas de place aux amours saphiques.

Elle sera incinérée le 21 février à Reims.

Nous présentons nos très sincères condoléances à sa femme et sa famille.

Ses deux derniers romans :

Hélène de Monferrand : Les enfants d   Hélène de Monferrand : Les enfants d

Les Amies d'Héloïse est un roman épistolaire qui narre les amours saphiques d'une jeune aristocrate, et sa relation amicale avec Claire qu'elle a connue à 15 ans et à qui elle va raconter sa tumultueuse vie sentimentale. Jeux du hasard et de la séduction, puissance du désir, passion qui flambe et bouleverse d'autres existences, amours imprévisibles... Un roman audacieux, trouble, piquant, décomplexé qui se lit aussi comme une saga de la France de l'après-guerre à l'après-mai 1968. 

Résumé de "Le Journal de Suzanne" : Elles avaient bien du charme, ces « amies d'Héloïse » qui valurent à Hélène de Monferrand le prix Goncourt du Premier Roman.  Dans les lettres qu'elles s'écrivaient, toute leur vie passait. Et leur époque. Leurs amours « différentes » - dont elles parlaient sans baisser la voix ni tes yeux - n'étaient plus avec elles un défi, une étrangeté, une anomalie, un cas, elles étaient l'amour même.  L'amour, cette évidence. L'une d'elles, Suzanne, se donnait la mort au milieu du roman.  C'est à elle que la romancière donne ici la parole. Du jour où elle se sait condamnée, Suzanne décide de tenir son journal et de rédiger ses souvenirs : pour Héloïse, la femme qu'elle a probablement le plus aimée, et pour elle-même. Avec une rare lucidité et sans complaisance, elle déroule le film d'une existence pendant laquelle elle a connu le désespoir, frôlé la mort, mais aussi donné et reçu beaucoup d'amour, passionnément aimé la vie et les plaisirs des sens.

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Tristesse
2 years ago
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Je viens présenter mes sincères condoléance à sa famille mais aussi à sa famille et ami(e)s courage dans cette douleurs
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