Vampyr - Tome 4 : le dernier volet de la saga vampirique lesbienne
Pour le tome final de cette saga, les auteures ont laissé libre court à leur imagination et sont allées au bout des choses. Vous pensiez avoir tout vu dans les tomes précédent ? Celui-ci fait encore plus fort !
Résumé : Se laisser une chance de s’accomplir en tant que Vampyr, Elena en fait le souhait le plus cher. Elle se promet de dompter sa nature frénétique. Le domaine d’été situé en France lui semble le meilleur choix pour un nouveau départ.
De meilleurs jours se profilent-ils à l’horizon ? Certainement. Vont-ils durer ? Pas tout de suite ! Un nouveau-né bouleverse les nouveaux plans de vie de Billie. Un nouveau virage s’opère et il ne plaira à personne.
Nos Vampyrs préférées répondront encore une fois au destin qui frappe à leur porte. Cette fois, elles sont prêtes à tout pour s’assurer d’en garder le contrôle.
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EXTRAIT
— Qu’est-ce qui se passe ?
Irina se tourne vers moi avec un sourire.
— Nous devons partir. Je t’expliquerai dans l’avion. Viens, tout est prêt. La voiture nous attend et Solveigh part avec nous.
Je fronce les sourcils. Elle s’éclipse et mon épouse me prend la main. Ce qu’il y a de bien avec ma nouvelle condition, c’est que je n’ai aucune gueule de bois.
Une fois dans l’automobile, Irina conduit. Solveigh me lance plusieurs coups d’œil. Il ne nous faut pas longtemps pour atteindre l’aéroport privé. Je suis surprise quand je ne vois pas le jet habituel des Vetâla. Le personnel est déjà en train de charger les valises. Je n’ai pas bougé. J’ai du mal à comprendre pourquoi Irina s’empresse. Elle s’occupe elle-même de certains bagages avant de me prendre la main. Nous montons à bord de l’appareil. Il est plus petit que celui des Vetâla. J’ai l’impression qu’il s’agit de celui de Solveigh. Nous sommes toutes les trois assises sur la banquette du salon richement décoré lorsqu’il décolle. La Suédoise me donne un verre avec sourire contrit.
— Merci, dis-je, tout bas.
Irina plonge son regard sombre dans le mien. L’émotion qu’elle ressent m’atteint. Je ne l’ai jamais vue aussi tendue.
— Je te choisis toi, Billie Diancecht, pour partager les jours qui me seront offerts.
Je soutiens son attention et elle ajoute :
— Le retour de Petrov aurait pu être un moment de joie, mais c’est une machination et nous sommes en danger, sladkaya. Pourquoi ne m’as-tu rien confié à propos de l’Originalis ?
