"Sans rivale", la nouvelle romance médicale de Radclyffe
Une rencontre inattendue pour réparer les blessures du passé
Dans cette nouvelle romance médicale de la reine du genre, nous retrouvons le centre hospitalier de Philadelphie, lieu de la rencontre explosive entre une jeune interne en chirurgie ambitieuse et une urgentiste blessée par la vie. L’attirance qui naît entre elles sera-t-elle suffisante pour surmonter leur peur de s’engager et leur ouvrir un chemin vers le bonheur ?
Résumé de l'ouvrage
Toute sa vie, Zoey Cohen a appris à dissimuler ses déceptions et son sentiment de manque derrière une apparence de calme et de parfaite maîtrise de soi, au service du rêve de sa vie : devenir chirurgienne. À l’orée de sa 4e année d’internat au Centre hospitalier de Philadelphie, elle vient de se faire larguer par son amante occasionnelle qui a trouvé la femme de sa vie. Sa rencontre avec Declan Black, nouvelle médecin urgentiste, va très vite éveiller en elle des sentiments passionnés et fissurer son masque d’impassibilité.
Mais Declan, marquée par un grave accident qui a fracassé sa carrière et la vie qu’elle s’était construite, a décidé de se consacrer désormais à son travail, dédaignant toute idée de rencontre amoureuse. Comment va-t-elle accepter son attirance pour Zoey alors qu’elle s’est persuadée qu’elle n’a plus rien à apporter à une autre femme ? Et comment Zoey parviendra-t-elle à surmonter ses craintes et à s’ouvrir à la force de ses sentiments ?
Nous retrouvons dans ce nouveau roman du cycle « PMC », après « Rivales passionnées », la marque de fabrique de Radclyffe : des femmes fortes et passionnées, qui se battent pour réaliser leurs ambitions et trouver l’amour.
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Extrait de l'oeuvre
Le regard de Zoey se porta sur une brune mince, vêtue d’une chemise bleu pâle et d’un pantalon noir ajusté, qui se tenait au milieu du chaos, enveloppée d’une aura de calme complètement surréelle. Le soleil levant scintillait sur le noir corbeau de ses cheveux courts et se reflétait en lançant des étincelles d’argent sur la boucle de son étroite ceinture noire. Elle semblait savoir ce qu’elle faisait, au moins. Les deux internes des urgences qui gravitaient dans son sillage pendant qu’elle évaluait les blessés et les dirigeait se concentraient sur elle comme si elle était le soleil de leurs lunes. Zoey comprit pourquoi. Quelque chose dans la posture assurée de la femme et dans son expression d’un calme olympien, malgré l’agitation indescriptible, imposait l’ordre dans la folie ambiante.
