Hélène de Froment
L’écriture s’est révélée à Hélène au moment de son adolescence. Au début, sous la forme de la poésie, jusqu’à ce qu’elle découvre sa différence.
Après avoir pris conscience de son homosexualité, elle a ressenti le besoin de raconter des histoires dans lesquelles elle se retrouvait. Elle a alors commencé un roman qui n’a jamais été terminé tant il prenait de l’importance dans sa vie, au point même que son travail en était perturbé. Elle a enfoui ce feu, cachant les braises qui la brûlaient intérieurement.
Vingt ans plus tard, il a repris avec tant d’intensité qu’elle s’en est enflammée. Les romans et nouvelles se sont succédé sans pour autant être présentés à l’édition. Elle avait besoin de prendre confiance avant de présenter ses histoires à une maison d’édition.
Elle s’est fait connaître par le biais d’Internet, a ouvert un blog et depuis fin 2013 ne touche plus terre. Ses doigts courent sur son clavier et multiplient les histoires. Novice, elle a cette rage de prouver que l’écriture coule dans ses veines et veut faire de cette passion une réussite.