Ulysse, jeune écuyer au charme désarmant, fait partie de la grande famille du Cirque Finderly. Alors que la troupe s’installe pour quelque temps aux abords de la capitale, il n’a qu’une idée en tête : découvrir la fameuse Tour Eiffel, qui vient tout juste d’être inaugurée.
Suite à un incident sur les berges de la Seine, il rencontre Pâris, un lycéen en dernière année à l’Institut Jauffret, qui lui propose de partager avec lui les joies de la grande ville. Entre eux, l’alchimie est immédiate. La séduction s’installe, les étreintes s’enflamment. Paris devient le théâtre de leurs secrets.
Jusqu’où l’ivresse les mènera-t-elle, avant que les jeux du cœur ne s’en mêlent ?
Solàn est un jeune drakenide. Sa mère, Marssia Novakvàn, la chef d’une compagnie de mercenaires établie sur l’île de Grestak, vient de le mettre à la porte avec pour ordre de se faire un nom avant de revenir revendiquer la place de chef.
Du haut de ses dix-neuf ans, Solàn débarque alors à Merphia, la capitale du jeune Royaume de Shiga. Entre ses recherches de logement et de travail, il a beaucoup à faire et ce n’est pourtant pas gagné d’avance avec son visage de jeune noble innocent.
Un coup de pouce du destin lui apportera cependant quelques solutions. Entre un couple d’anciens mercenaires, une mère éplorée, la politique, les intrigues de cour et un demi-elfe attirant, la vie ne sera pas simple pour Solàn à Shiga.
Résumé : Raphaël a tout pour être heureux. Il vit un vrai conte de fée… Grâce à son compagnon, il a une existence que beaucoup rêvent d’avoir. Mathieu lui a offert de vivre de sa passion, dans un cadre idyllique, dans un somptueux appartement avec vue sur la mer. Il lui a offert un environnement et un entourage qui le tirent vers le haut. Oui, selon les autres, Raphaël a une vie de rêve. Mais la réalité est bien différente. Quand les portes se ferment, qu’il n’y a plus de témoin, ce qui a débuté comme un rêve est devenu un cauchemar. Sans s’en rendre compte, Raphael est tombé dans le piège abyssal de son prédateur qui ne voyait à travers lui qu’une proie… Mais qui pourrait le croire,
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