"Contre-Indication médicale" le nouveau roman en français de Radclyffe
Quand l’amour bouleverse les plans les mieux organisés.
Dans ce roman qui inaugure la série "Série Hôpital Rivers 1", Radclyffe nous place au cœur d’un hôpital dans la campagne de l’État de New York pour nous faire vivre la rencontre entre deux femmes passionnées à la recherche d’un sens profond pour leur existence.
Résumé
Depuis six générations, un membre de la famille Rivers est à la tête de l’hôpital d'Argyle. Harper Rivers, médecin généraliste, a toujours su qu’elle remplacerait son père lorsque celui-ci se décidera à raccrocher son stéthoscope. Mais l’hôpital est déficitaire et son conseil d’administration a accepté une offre de rachat par un géant du secteur. Presley Worth, une cadre dirigeante de l’entreprise, débarque à Argyle pour superviser l’opération. Elle découvre un environnement rural à la beauté inattendue et fait la connaissance d’une séduisante médecin généraliste qui n’entend pas accepter sans se battre le sort réservé à l’hôpital.
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Les tropes et thèmes
- Romance médicale
- Enemies to lovers
- Romance de travail
- Feel Good
- Petite ville
Extrait
Alors que les portes des urgences commençaient à se refermer, deux femmes y pénétrèrent, absorbées dans une conversation à voix basse. La plus grande, une brune, portait un stéthoscope autour du cou et était habillée de façon décontractée avec un pantalon noir et une chemise bleu pâle bien repassée. L’autre, à la chevelure châtain, était vêtue d’une tenue de bloc verte et d’une blouse de laboratoire blanche. Elles s’arrêtèrent et scrutèrent Presley.
La brune attrapa la porte avant qu’elle ne se referme et sourit.
— Vous allez voir un patient ?
La question prit Presley au dépourvu, ou peut-être le sourire chaleureux et la voix douce et caressante. La matinée était propice aux surprises.
— Non, merci. En fait, je cherche l’aile administrative.
La femme en tenue de bloc éclata de rire, ses yeux marron pétillant d’arrogance et de confiance en soi.
— Eh bien, on ne parle pas exactement d’aile, peut-être plutôt un bout d’aile.
— Cela fera l’affaire, déclara Presley.
— Je vais dans cette direction, dit la brune en tendant la main. Harper Rivers.
Une autre Rivers. Presley saisit sa main. Elle était grande, chaude et forte.
— Presley Worth.
— Enchantée de vous rencontrer.
Les yeux de Harper Rivers étaient d’un bleu profond et spectaculaire. Presley avait du mal à détourner son regard. Elle lâcha la main de Harper.
— Moi de même.
— Je m’appelle Flannery, dit la jeune femme aux cheveux châtains en se glissant dans le champ de vision de Presley. La plus belle des sœurs.
Presley les dévisagea et repéra les mâchoires carrées, les nez droits et fermes, les lèvres pleines et expressives. Les yeux étaient d’une couleur différente, mais les regards étaient similaires : intelligents et sûrs d’eux. Les réserves de docteurs Rivers étaient apparemment inépuisables.
— Je m’abstiendrai prudemment de tout commentaire, déclara Presley.
Harper rit et Flannery sourit.